Un de mes arrières grands cousin fût François Faber....Une époque ou les coureurs ne travaillaient pas que leurs muscles, mais également leur savoir faire...
Il répara de ses mains sa fourche cassée dans une forge avant de reprendre la route...Aucune assistance, le seul but étant d'arriver...Je pense que cet état d'esprit c'est dissipé depuis longtemps...
J'imagine nos champions actuels dans une telle situation....
